Jean-Charles, expert des projets collaboratifs et engagé dans la protection des océans !
Le 19 février, nous avons eu le plaisir d’accueillir Jean-Charles Hainglaise comme associé du cabinet ANTROP. Il rejoint l’aventure et vient l’enrichir par sa personnalité et sa longue expérience en Direction de projets et programmes.
Jean-Charles Hainglaise, qui est tu ? Que fais-tu ?
Toute ma vie professionnelle tourne autour des projets, des programmes. Je m’intéresse à la possibilité de transformer les choses. Les projets et les programmes sont des moyens de le faire. C’est mon univers depuis 25 ans.
J’ai eu la chance de rencontrer tôt ce que j’aimais faire, en Afrique. Développer des projets pour faire le bien. Réduire des souffrances. Il s’agissait de mieux maîtriser l’expansion du sida en Afrique de l’Ouest, ou encore d’installer des dispositifs de santé plus performants. Cela vise à apporter, un bénéfice tangible à la fois pour l’organisation et pour les bénéficiaires finaux.
Derrière le management de projet, c’est presque une posture militante. C’est comme créer un écosystème pour ceux qui sont porteurs de projets, avec une conviction : on peut monter les projets en faisant grandir les équipes.
Qu’est-ce qui permet ça ?
Ce sont des conditions organisationnelles qui préparent un terrain favorable. C’est d’abord une gouvernance, ce sont des moyens et au niveau du projet des personnes qui maîtrisent le pilotage de projet.
Ce sont aussi des équipes qui ont envie de travailler ensemble. Les conditions structurelles sont à la main des managers.
Pourquoi as-tu rejoint ANTROP ?
Depuis quelques années, je m’intéresse aux transformations profondes, notamment en environnements « collaboratifs ». Je voulais trouver un partenaire référent dans ce domaine.
La complémentarité de nos expertises permet de proposer une offre de service complète pour accompagner les grandes transformations.
Par ailleurs je partage les valeurs des équipes ANTROP basées sur l’Humain et très pros, cela permet de construire ensemble des offres performantes.
Comment souhaites-tu contribuer au projet ANTROP ?
Accompagner de grandes transformations dont les entreprises ont besoin, on ne peut pas le faire seul. Il faut une équipe pluridisciplinaire. Avec toujours l’Humain au cœur. ANTROP, c’est la richesse, la fertilisation croisée de nos regards d’experts. Cela permet d’aborder un projet complexe sous différents angles pour le client. Mon expertise des projets collaboratifs et des grandes transformations nous permet ensemble de construire une offre d’accompagnement complète ANTROP.
Des quatre convictions ANTROP, laquelle te parle le plus ?
Il y en a deux : la pluridisciplinarité indispensable sur des sujets complexes et l’Humain au cœur parce que ce dernier est le moteur des projets.
Quelle est ta devise dans la vie ?
« Faire toujours de mon mieux, persévérer ».
Quelque chose que tes associés ne savent pas encore de toi ?
J’ai failli passer pro en golf. À l’adolescence, je me posais la question.
Quelle est la rencontre professionnelle qui t’a le plus marqué ?
Il y en a eu énormément. Les projets permettent de très nombreuses rencontres. C’est aussi pour ça que j’aime travailler en mode projet. Je suis curieux de nature ce qui m’a permis de développer une polyvalence sectorielle.
Qu’est-ce qui fait que tu te lèves le matin ?
Ce qui me fait lever, c’est le sentiment d’aider les équipes à avancer sur leurs projets. C’est aussi la transmission et depuis plus de 20 ans, je forme des jeunes et des moins jeunes au management de projets. Donner du sens est important aussi et les projets sont des leviers efficaces pour transformer des rêves en réalité. La protection des océans est un enjeu qui m’anime depuis mon enfance et j’essaye d’y apporter la puissance du projet au travers d’associations que je contribue à animer.
Le mot de la fin ?
Les grandes transformations se gagnent dès le démarrage, en alignant les objectifs, l’organisation et les hommes qui les portent. Pour ça il faut dessiner un rêve commun. J’ai la conviction que chacun à son niveau peut faire avancer les rêves.
